lors de ma venue au monstre
à travers le temps une figure féminine
maculée d’une tache rouge où l’on manquait de tout
jouait au cerceau d’une gamme étendue
la mélancolie le détachement
cajolaient l’enfance précédant ma naissance
pour se forger une liberté avant la déclaration de guerre
rires et caresses endiablées
de l’agencement des mots initiatiques
le profit prophétique
d’une dette dont l’impact
refoule les aspérités de la gravité
une étrange aventure aux ricochets irrespectueux
peine à nous défendre
les escarbilles de l’été
sous les voûtes automnales
la fête rituelle du vertigineux réel ramassé à la pelle
une certitude ouvre la certitude
l’épuise par gorgées
écrase ses pépins
même les freins font des phrases
roulent les trousseaux
entre les quatre roues de la soif
au centre de mon cœur en poche
un cadre fréquente un royaume que je ne quitte pas des yeux
le cerveau vierge jette un pont vers l’esprit insolite de dissimulation
libre et indomptable bonté
les chemins se poursuivent au-delà du conflit
de la séparation
d’un enterrement éphémère qui n’en finit pas
à deux pas de la vraie vie jetée sur une plage
regagner le temps
l’apogée de l’essence
le temple de l’accès
la restitution de notre coïncidence
le chipage du champ cristallin s’étonne du magot insignifiant
le visage détourné se confond en escalades
il lève la frayeur avide
accumule les manifestations du clair-obscur
notre silhouette commune
étincelle avant d’évoquer l’architecture enfantine
dédiée à la régalade du cap
sa dernière mise à jour
à travers le temps une figure féminine
maculée d’une tache rouge où l’on manquait de tout
jouait au cerceau d’une gamme étendue
la mélancolie le détachement
cajolaient l’enfance précédant ma naissance
pour se forger une liberté avant la déclaration de guerre
rires et caresses endiablées
de l’agencement des mots initiatiques
le profit prophétique
d’une dette dont l’impact
refoule les aspérités de la gravité
une étrange aventure aux ricochets irrespectueux
peine à nous défendre
les escarbilles de l’été
sous les voûtes automnales
la fête rituelle du vertigineux réel ramassé à la pelle
une certitude ouvre la certitude
l’épuise par gorgées
écrase ses pépins
même les freins font des phrases
roulent les trousseaux
entre les quatre roues de la soif
au centre de mon cœur en poche
un cadre fréquente un royaume que je ne quitte pas des yeux
le cerveau vierge jette un pont vers l’esprit insolite de dissimulation
libre et indomptable bonté
les chemins se poursuivent au-delà du conflit
de la séparation
d’un enterrement éphémère qui n’en finit pas
à deux pas de la vraie vie jetée sur une plage
regagner le temps
l’apogée de l’essence
le temple de l’accès
la restitution de notre coïncidence
le chipage du champ cristallin s’étonne du magot insignifiant
le visage détourné se confond en escalades
il lève la frayeur avide
accumule les manifestations du clair-obscur
notre silhouette commune
étincelle avant d’évoquer l’architecture enfantine
dédiée à la régalade du cap
sa dernière mise à jour
lors de ma venue au monstre
à travers le temps une figure féminine
maculée d’une tache rouge où l’on manquait de tout
jouait au cerceau d’une gamme étendue
la mélancolie le détachement
cajolaient l’enfance
traînées de vide
dans l’enfance suspendue
aux langues du travail
et les oiseaux reflètent
le secret du maître des sentiments
et les sillons de la pensée
emploient la lumière du monde
qui flotte dans le champ souple
des origines
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