Fin de journée, heure improbable. Une musique lancinante, enivrante, comme un tourment dans l’air.
On est déstabilisé par ce rythme qui nous prend aux tripes.
Et malgré tout, il réveille en nous une énergie, une force insoupçonnée à cette heure de la journée.
Danse, danse et sens la vie qui te remplit.
Souffle, souffle et respire l’envie, la douce folie.
Se libérer et exister
Tel qu’on est et comme on veut
Être soi-même pour être mieux ?
● □■■□ ◆ ■■● □■
□■◆ ● ●■□□━●□□
◆ ● □□ ━●□■■━●
◆□■◆━□━◆━■□
Bilel : Où suis-je ?
Mourad : Dans l’existence.
Monique : Pourquoi es-tu là ?
À qui la faute : Parce que les arbres ont des racines.
Bilel : Pourquoi les gens sont fous ?
Mourad : Parce que j’ai quelque chose pour toi.
Monique : Pourquoi écris-tu ?
À qui la faute : Parce que les fleurs c’est périssable.
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◆□■ □◆ ● ◆━■□
━■■■◆ ● □━■□□
◆━●━◆■◆━●━
J’attends l’ultime délibération,
Aussi ce n’est pas sans appréhension.
On connaît le début même si parfois on l’oublie vite,
Et on voudrait connaître la fin,
Savoir si on sera bien ou en déficit.
Piriforme est notre vie,
En attendant un refuge, on s’ignifuge les neurones
En attendant le déluge.
Avouer ses fautes est déjà un début,
Et ça nous affine,
On a mal au cœur telle la dystrophie.
En bref, sors de ton bolide et savoure la vie
Comme elle vient.
Et si tu peux,
Vas-y, tends la main.
Marseille, le 22 avril 2010, avec Cultures du Cœur.
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On est déstabilisé par ce rythme qui nous prend aux tripes.
Et malgré tout, il réveille en nous une énergie, une force insoupçonnée à cette heure de la journée.
Danse, danse et sens la vie qui te remplit.
Souffle, souffle et respire l’envie, la douce folie.
Se libérer et exister
Tel qu’on est et comme on veut
Être soi-même pour être mieux ?
╰✩╮
Fabienne
Quinterne
╭✩╯
Fabienne
Quinterne
╭✩╯
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Bilel : Où suis-je ?
Mourad : Dans l’existence.
Monique : Pourquoi es-tu là ?
À qui la faute : Parce que les arbres ont des racines.
Bilel : Pourquoi les gens sont fous ?
Mourad : Parce que j’ai quelque chose pour toi.
Monique : Pourquoi écris-tu ?
À qui la faute : Parce que les fleurs c’est périssable.
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J’attends l’ultime délibération,
Aussi ce n’est pas sans appréhension.
On connaît le début même si parfois on l’oublie vite,
Et on voudrait connaître la fin,
Savoir si on sera bien ou en déficit.
Piriforme est notre vie,
En attendant un refuge, on s’ignifuge les neurones
En attendant le déluge.
Avouer ses fautes est déjà un début,
Et ça nous affine,
On a mal au cœur telle la dystrophie.
En bref, sors de ton bolide et savoure la vie
Comme elle vient.
Et si tu peux,
Vas-y, tends la main.
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Bilel
╭✩╯
Bilel
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Atelier d’écriture à la bibliothèque de Bonneveine,Marseille, le 22 avril 2010, avec Cultures du Cœur.
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photo : Marie-Hélène
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photo : Marie-Hélène
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