lundi 21 mars 2011

aux yeux des feuilles

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нт.Mona Thomas.


Le temps est prince, mais il est hanté. En tel prince qu’une crise empeste, pantin errant aux tympans tempêtant par un temps incertain (durant un certain temps à ne pas prendre avec des pincettes), surprends le sel du temps. Comprends-le, puis laisse-le, ou même perds-le. Si tu as une pelle, sers-t-en. 

C’est un test en prime sur la piste du ciel étoilé sous terre lascive, éblouie, pour rougir infiniment nos tempêtes étourdies mais pas secrètes, chemin élagué, sinueux, terminant les errances pistées, rouages inexorables, nuit troublante, émouvante, mouvante, poussière du sentier.

Et tandis que tes hyènes errent, laisse les tympans pressés par l’air. Le temps d’un preste clin, écoute ces strophes, ces appeaux esthétiques à l’appel des ailes de la paix. 

Choisir encore son tumulte liquéfié encourage probablement la relation intrinsèque nuancée, toujours époustouflante, maison posée au sommet. Clore enfin le sortilège trompeur lancera passionnément le ravissement inopiné de noces torrides enchantées, muse possible sanctifiée.


P.-S. : Aime et ris, prends un temps ; c’est le printemps.

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