jeudi 3 juin 2010

la tragédienne née

.
Voir Verona Hitchcock réciter sans grande conviction sa journée
Toute glaciale dame au cœur fumant, prise après prise.

Morne, monotone, atone
Aucun atome crochu
Ne remplaçait le serpent
Le crochet n’écrivait plus
Ni catharsis récits
Ni dialogues scénarisés
Et non plus oasis poésie.


Le temps passait mais pas comme il fallait
Verona Hitchcock en était certaine.

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