Il verra le terrier du fauve roux qui n’a qu’un œil
Lycophron, Alexandra (trad. Pascal Quignard).______
. . . . . . .P . . . H . . . O . . . T . . . O . . . S . . . . . . . : . . . . . . . V . . . I . . . N . . . C . . . E . . . N . . . T . . . . . . . L . . . E . . . . . . . J . . . A . . . R . . . D . . . I . . . N . . . I . . . E . . . R. . . . . . .
qui gémit au sein des chagrins de la terre ?
bleue lumière du ciel
rêve ou tendresse ?
l’odeur de l’espace s’attache au sort
que couvrez-vous ?
quelle nature ou quelle sagesse ensanglantée
de bourgeons en épaules
de profondeurs en perles ?
le temps est usé mais sa source vient de s’élever
comme s’accomplit dans le jour
dans la langue de son désir farouche
un rire dont l’effusion s’immerge
aux lèvres mêmes de son amphore
que couvrez-vous ?
quelle nature ou quelle sagesse ensanglantée
de bourgeons en épaules
de profondeurs en perles ?
le temps est usé mais sa source vient de s’élever
comme s’accomplit dans le jour
dans la langue de son désir farouche
un rire dont l’effusion s’immerge
aux lèvres mêmes de son amphore
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