L’OBSCUR OCÉAN D’AUTREFOIS
L’espoir, un jour, assis dans un fauteuil, bondira comme une haute épée. Ses liens triomphants pourrissaient en buvant la tisane, les voilà séparés de mille et une vanités sans une scarlatine sur mon cœur.
Le sang d’un marchand de cartes postales enferme le ciel, la mer et la terre qu’on étouffe au fond de la poche gluante.
Avancé pour mon âge, je m’en allais à travers les premiers voyages dans tes yeux vraiment rythmés.
On plaisante sur les ruisseaux avec amour de la vie, mais cet amour s’endort, attirant la panthère en bonne santé qui le garde. J’imagine qu’elle m’emmenait également en cherchant le bonheur pour tirer de mon beau jour cette voix qui détruit les grimaces.
Élever des poissons est un divin moment à se souvenir. Le Larousse prodige chasse l’insecte au secours de l’idéal. Des bûches qui dansaient dans ces feuilles brûlantes voudraient couler dans un mot commencé.
. E . . m . . m . . a . .... . W . . a . . t . . t . . i . . a . . u .
. + . . M . . o . . n . . a . .... . T . . h . . o . . m . . a . . s .
.... . + . .......................................... . j . . b . . t .
. + . . M . . o . . n . . a . .... . T . . h . . o . . m . . a . . s .
.... . + . .......................................... . j . . b . . t .
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire