vertige éboulis la grêle frêle arithmétique de cœurs fléchés les sentiers du songe s’emberlificotent dans leurs bas-côtés vestige aboli crécerelle indigne d’un insigne honneur lui fit horreur éclipse avouée à l’occulte lumière désastre fragments de sueur la mort en partage suaire de la peur photosynthétique les glyphes de leurs nuits n’ont retenu que l’ombre de la lumière du monde segments fossiles de courtes vues épitaphes de l’ultime bévue les pleureuses ont pour coutume d’aimer leur métier tourbe brûle éventre sa terre noire moirée de risées irisées l’alchimie d’un cygne parle acheminée troubles inventés n’ont pour raison que de se désister signaux de fumée panoplie de signes calcinée brasier de soleils au cœur raturé par la pointe rouge énamourée des bons baisers du ciel le plan indique un rendez-vous déjà dépassé l’embrasure d’une portée déjoue les mélos se joue détour mélodique jeté halo le présent abdique l’opportunité d’un passé ressassé avant d’accéder à sa verticalité la rythmique des cœurs fléchés défibrille la grille de l’aube et s’adonne au vertige
lundi 28 février 2011
dimanche 27 février 2011
interactions croisées
terre à ciel couvert les murs s’évanouissent dans la nature
s’effondrent en poussières au fil de ton tempo
la peau de ton tam-tam étouffe l’étoupe de nos drames
au cœur de tes racines tu palpes les pulsions
nos pulsations y puisent les cornes de leur brume
qui font valser les anges et jacasser les pies
signant nos trajectoires à la surface de l’eau d’un puits
s’effondrent en poussières au fil de ton tempo
la peau de ton tam-tam étouffe l’étoupe de nos drames
au cœur de tes racines tu palpes les pulsions
nos pulsations y puisent les cornes de leur brume
qui font valser les anges et jacasser les pies
signant nos trajectoires à la surface de l’eau d’un puits
↕
.estampes.:.
samedi 26 février 2011
en son entier
Il verra le terrier du fauve roux qui n’a qu’un œil
Lycophron, Alexandra (trad. Pascal Quignard).______
. . . . . . .P . . . H . . . O . . . T . . . O . . . S . . . . . . . : . . . . . . . V . . . I . . . N . . . C . . . E . . . N . . . T . . . . . . . L . . . E . . . . . . . J . . . A . . . R . . . D . . . I . . . N . . . I . . . E . . . R. . . . . . .
qui gémit au sein des chagrins de la terre ?
bleue lumière du ciel
rêve ou tendresse ?
l’odeur de l’espace s’attache au sort
que couvrez-vous ?
quelle nature ou quelle sagesse ensanglantée
de bourgeons en épaules
de profondeurs en perles ?
le temps est usé mais sa source vient de s’élever
comme s’accomplit dans le jour
dans la langue de son désir farouche
un rire dont l’effusion s’immerge
aux lèvres mêmes de son amphore
que couvrez-vous ?
quelle nature ou quelle sagesse ensanglantée
de bourgeons en épaules
de profondeurs en perles ?
le temps est usé mais sa source vient de s’élever
comme s’accomplit dans le jour
dans la langue de son désir farouche
un rire dont l’effusion s’immerge
aux lèvres mêmes de son amphore
vendredi 25 février 2011
jeudi 24 février 2011
de l’autre côté de l’écran de fumée
Le sens de l’invisible
ÇA SE VOIT avec les oreilles
AU BOUT de LA planète rouge,
Le vieux diable IMMOBILIER de filles
AVEC la Peau très sèche
a séduit NOS CONFRÈRESPour tout savoir sur Le fantôme volcanique
Ouvrez grand sa bougie
le printemps sous le vent
NE LÂCHERA RIEN que de l’eau
SACRÉE
.pour. FAIRE FORTUNE à l’envers
frapper aux portes d’or
тⓔ✖тⓔ .&. ⓟн๏т๏ .Mona Thomas.
mercredi 23 février 2011
mardi 22 février 2011
licence poétique
. . . P . H . O . T . O . . : . . V . I . N . C . E . N . T . . L . E . . J . A . R . D . I . N . I . E . R . . .
. . . . . . . . V . I . D . E . O . . : . . J . O . H . A . N . N . E . S . . N . Y . H . O . L . M . . . . . . . .
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