gît dans les ténèbres, s’oppose à leur convoitise et les saisit avec le concours de la volonté éternelle.; à leur tour les ténèbres veulent saisir la lumière libre mais elles ne peuvent y arriver, car celle-ci s’enferme en elle-même et devient peu à peu une ténèbre.; de la réaction réciproque de ces deux tendances naît, dans l’impression, l’éclair ou principe du feu.; l’angoisse emprisonne la liberté apparue dans l’impression comme un éclair. Mais comme cette liberté est insaisissable, qu’elle est antérieure et extérieure à l’impression, et qu’elle n’a pas de base, son adversaire ne peut la retenir, se rend à elle et laisse engloutir en elle son essence obscure.: par ce mouvement, la liberté règne sur les ténèbres sans être comprise par elles.
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