Je pense à la chaleur que tisse la parole
autour de son noyau le rêve qu’on appelle nous
Tristan Tzara, L’Homme approximatif.
autour de son noyau le rêve qu’on appelle nous
Tristan Tzara, L’Homme approximatif.
La fin des voyages s’accélère dans le chaudron empli de jeux ébouillantés.
Le relais des saisons intermédiaires ajoute à l’ambiance générale autorisée
une réserve d’archives épistolaires tirées depuis le cœur.
De l’action divise notre fierté suscitée séduction au pays des tortues de jade.
Les longs jours s’amusent comme des fous au pied de nuages doux.
On s’y chauffe au passage.
Le relais des saisons intermédiaires ajoute à l’ambiance générale autorisée
une réserve d’archives épistolaires tirées depuis le cœur.
De l’action divise notre fierté suscitée séduction au pays des tortues de jade.
Les longs jours s’amusent comme des fous au pied de nuages doux.
On s’y chauffe au passage.
Mes compliments à celle qui s’est sue par ici
et par la septième porte
a troqué ses dentelles contre des ailes de vampire
sur le corps de deux heures a volé ma couronne
pour une atteinte au glaive en forme de boomerang
m’est revenue antique pour un ultime bras de fer
avant de s’abandonner aux charmes du ruisseau
que couvrent des fougères lui soufflant des incises
dictées par le vol d’un dragon saoul.
Elle a des yeux de mythe
pour percer mon étoffe secrète
et des bottes de sept lieues
pour me conduire
d’un geste sûr et élégiaque
au bord de la mer Égée.
Elle est mon égérie
par mon sexe érigée.
2 commentaires:
Merveilleux poème
dictées par le vol d’un dragon ivre soul (en anglais)
mer sea
par sa houle
l'amplitude de son âme
le dragon explore l'ivresse des profondeurs
pour jaillir eau et feu
salamandre
Enregistrer un commentaire