jeudi 17 février 2011

la porte étroite

.

Car sa soif de l’amour ne peut être assouvie ;
Il prodigue son sang, déchaîne son désir,
Et son verbe est l’amant de la force infinie.

Albert Jounet, L’Étoile sainte.

 
c’est éprise de bonté 
que tu m’as toujours aimé

de cette bonté même
qui te pousse à fleurir au soleil
reconnu par cœur
 

parce qu’il n’y a pas de faute
ni rature en ta nature
 

celles que tu vis
sont de l’inattention
à l’inattendu
que tu attendais
 

c’est surpris par ta bonté
que je te suis revenu
et que je te reviendrai
si jamais toujours
et encore bien plus
et toujours plus encore
de notre bonté





... . . p . h . o . t . o . ....
Vincent le Jardinier
. . . . . . . . . . . . . . . . . .

2 commentaires:

Anonyme a dit…

J'aime beaucoup . Merci pour ce poème

Jean Bernard Thomas a dit…

merci pour ce comment taire

les phares se font si rares par ici à oser s'y voir

(et pourtant quelques messages privés m'encouragent à ne pas lâcher l'affaire)

merci d'avoir osé

:)