traversé
par le reflet du ciel dans la minceur d’une existence
à peine vue tout juste sue et toujours tue le réel se déplie sous l’écorce
du jour
La Flor
criblé d’oiseaux face au prisme d’une Sainte-Victoirej’endure le torrent de chaque instant qui se déverse à tous les tempsj’entrevois la trajectoire des futurs talonnant leurs souvenirs
le mur à venir avance par derrièrepoussant dans l’inconnu des blocs de passés inaboutis
en moi se mirent les ébats et les élans briséstessons de lumière abasourdisils reprennent vie sous l’action de mon souffle
criblé d’oiseaux face au prisme d’une Sainte-Victoire
j’endure le torrent de chaque instant qui se déverse à tous les temps
j’entrevois la trajectoire des futurs talonnant leurs souvenirs
le mur à venir avance par derrière
poussant dans l’inconnu des blocs de passés inaboutis
en moi se mirent les ébats et les élans brisés
tessons de lumière abasourdis
ils reprennent vie sous l’action de mon souffle
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