. lents matins corrompus qui éveillent leurs corps
. fourbus par l’importante érosion de l’aigreur
. je meurs destins moulus annoncez vos envies
. mais qu’éclose leur chair à l’aube en faim d’oubli
. inculque au fou les revendications du cœur
. survoltés vermisseaux qu’infante mon amour
. insistants soubresauts accordons l’œil déchu
. aux couleurs des pinsons allée du repentir
. mon asthme virulent court aux étais d’or fin
. et virevoltant foulard s’interrompt soluble
. ô vers de circonstance avoué pur orgueil
. ton dos nu de licorne a changé mon destin
. ton dos nu de licorne a changé mon destin
2 commentaires:
Conte de l'Affolant Ordinaire ... Suite et non fin.
Et si la peau de l'Odécaphonisme n'était pas encore tuée ?
(: on compte bien sur toi pour que ne pas :)
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