lundi 11 avril 2011

l’éventail des herbes amarrées

.Le silence,.
.c’est du temps perforé par des bruits..
________Marc  de  Smedt_




Inonde la démence à ras de bord, ses nerfs légers malgré les injures. 

L’oiseau lève les mains déverse ses signes sur le métabolisme de la conscience parmi les glaçons. L’engourdissement est aussi léger que les plantes de l’unanimité et dans les veines crispées la modestie du bois ventilateur écoule le monde. 
L’avenir toutefois battu élevait jusqu’à la direction des images l’épuisement du regard animal. Malgré les ventres de corolles contradictoires la limitation du pourpre s’allume les peaux dans la fable de la sagace pelure.





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Emmanuelle Masini, Strofka & Jean Bernard Thomas
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