Partout les solitaires forcés commencent à créer les mots du nouveau dialogue.
Octavio Paz .. .. Vers le poème . . (Aiglon ou soleil ? . Liberté sur parole)
....
nuit qui s’ouvre à ton écoute
et le visage de la réalité se décompose
combien de regards déchirés dans l’ombre des horloges ?
ils se lisent entre eux leurs brouillons blessés au fil des phrases en ruine
s’abandonnent au pied de la distancequ’ils promènent à l’aune de leur indifférence
sauvent les apparences dissimulées sous le plancher
pour épeler leurs envols souterrains dans des larmes fatiguées de n’avoir pas su pleurer
nuit qui t’ouvre à son écoute
… elle t’éclaire
… elle t’éclaire
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