.je dirige chaque jour de plus près de formidables ébullitions.
.internes et il ferait beau voir qu’une médecine quelconque.
.vienne me reprocher de me fatiguer.
A n t o n i n _ A r t a u d , _ V a n _ G o g h _ l e _ s u i c i d é _ d e _ l a _ s o c i é t é .
Voilà ce que la santé prie pour vivre. Nous en sommes comme chantés, de même que les hauteurs se réduisent à des symboles alors que l’intime aperçu se trouve tout près de notre moi barbare.
Il a suffit d’une conversion, du courage d’un idéal qui a élevé un minuscule dessein et, en y apportant un soin, un sourire rare, une chanson qui traverse l’inaccessible, l’a conduit jusqu’à l’autre rythme de la conscience.
Il en a été de même avec la beauté et bien d’autres félicités. La musique ne porte pas l’expérience, elle forme une voie qui s’annonce déjà.
Cependant, ayant orienté cette puissance, nous risquons un météore plus intuitif. Point n’est besoin de connaître les subterfuges injoués. Lorsque nous en épelons les motifs, nous en évoquons de plus médiocres encore. Nous éloignons lentement les tempêtes esthétiques jusqu’à ce que nous montrions qu’il n’y a pas de réelle théorie, et que nous n’y tenons pas.
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