Un temps
viendra où tout initié du monde meilleur verra, comme Pygmalion, s’éveiller dans la gloire d’une aurore supérieure, l’univers qu’il créa et rassembla autour de lui, et où son long amour et sa longue fidélité seront récompensés.
.Novalis.
Rien n’est assez puissance de cette atmosphère propre à l’art des cœurs, renversée en poètes comme envoyée du penseur grec. Et sous quelque rapport entièrement, éternellement organique, le grand rythme accélère l’univers de la vie absolue.
La synthèse de la vérité parcourt la chaleur dans les détails de son temps spirituel. La vie qui peut s’entendre une fois est comme la vie suprême en commun. La contradiction n’est pas l’ombre d’un symbole. Elle vaut, comme la science de l’homme, des flots multiformes en masse artificielle. Nous ne sommes que des rochers dans la mesure de ce genre ordinaire, mathématique aux plis nombreux qui d’un seul coup doivent voir malgré tout notre monde comme accessoire à sa juste mesure.
Le renoncement des génies est vraiment insensé. Son élément mystique, au détriment des autres, traite des hypothèses d’un instinct de folie organique sous la pesanteur de la nature des transcendances.
La synthèse de la vérité parcourt la chaleur dans les détails de son temps spirituel. La vie qui peut s’entendre une fois est comme la vie suprême en commun. La contradiction n’est pas l’ombre d’un symbole. Elle vaut, comme la science de l’homme, des flots multiformes en masse artificielle. Nous ne sommes que des rochers dans la mesure de ce genre ordinaire, mathématique aux plis nombreux qui d’un seul coup doivent voir malgré tout notre monde comme accessoire à sa juste mesure.
Le renoncement des génies est vraiment insensé. Son élément mystique, au détriment des autres, traite des hypothèses d’un instinct de folie organique sous la pesanteur de la nature des transcendances.
Quand l’oiseau électrique nourrit ses étincelles, le temps se zèbre. L’oiseau se dédouble. Tout vole. Une lézarde tombe du mur, l’avion trace, et partout ça répond. Promesse pour le temps présent, discrétion assurée. Les enfants se taisent. Leur vérité s’espace. L’onde siffle continûment, des vagues se forment, absorbent les dernières flèches, ouvrent la voie. Le vent se lève, témoin d’un baiser. Puis tout s’apaise. L’infiniment petit reprend ses droits, un soleil rouge chante son parcours en entourant des joyaux dans un champ de coquelicots.
.germe poétique.
Un élément du principe peut devenir la traduction spirituelle de l’invisible. Toute forme embrasse les lèvres de l’âme et son image dépend de l’esprit contemplatif. L’étincelle de l’inconnu amène la magie de l’éternel présent. L’initiative qui fait écrire une idée reproduit une pensée en plusieurs absolus primitifs. Une idée si grande qu’elle nous fait sortir de la mort. C’est de là que naît le développement de l’avenir musical.
Le promeneur de tempête annonce que tout est vieux et qu’il va faire chaud. La porte s’ouvre malgré tout sur le jeûne en dehors des horaires.
.f.lammes centrales.
Et, géométriquement, depuis les histoires de folies ancrées et d’éducations annonciatrices, les échanges les défendent par des plans individuels dédiés à des architectures lumineuses. Tout leur fait visage, cependant réalisé en étage qu’ils n’ont jamais visité. Alors se dirigent, comme agencés par une rampe, les portraits mariés du vent et de la symétrie devant l’insaisissable constante. Un cristal soufflé trace les impressions d’un chemin immatériel. Les accès du miroir culminent dans l’art invité entre d’étroites parenthèses. La beauté écarte ses pans jusqu’à découvrir un monde stupéfait de profondeur. Les mots n’ont plus cours dans l’antichambre nuptiale. Si l’amour est un puits le ciel est sa poulie. C’est en brisant le sceau que le pardon s’incline, abreuvé de présent à ses pieds étalé, juché sur ses genoux pour franchir le muret.
.visitation.
il balaye le ciel à bout de brasà bout de forces il reprend son travailil accouche le jour à bout de souffleil découche la nuit et l’épanouitimprime son éclipse sur des touches de cirehappé par le réel quand les vues se brouillentadossé au printemps qui déborde du cadreil entame l’automne des cœurs vieuxincise leurs trouvaillestrempe la pointe du pied
et foule du talon les cartes périmées
.Nous deux nous ne vivons que pour être fidèles.
À la vie
.Paul Éluard.
4 commentaires:
merci
c'est moi
Je suis Robson Rocha, je suis styliste au Brésil. Je suis fou de mode et je fais de cela une manière d'expression.
J'accompagne toujours votre blog et j'aime beaucoup votre travail. Moi aussi, j'ai un blog où je montre mes créations de mode. je voudrais vous préseter mon blog www.zoedegaia.blogspot.com
Je vous remercie de votre attention.
Robson Rocha.
Je suis Jean Bernard Thomas, je suis stylo au grésil. Je suis fou démodé et je fais de cela une expression maniérée.
Je blogue toujours ma compagne et j'aime beaucoup son travail. Moi aussi, j'ai un globe où je crée mes mondes démontrés. Je voudrais vous englober mon présent.
Jeux vouent heureux mercis de votre hâte tension.
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