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les postures épigones s’épuisent en raisons invoquées
l’amour se débraille jusqu’à l’os dézippé tu y lis ton âge au centimètre carré
et délivres ton ange aux sentiments bafoués impulsions éclectiques
à coups de fouet le crin d'arrêt les jarrets écorchés un cycle
tu vas la boucler sainte sécurité
la fée électricité s’entête à palper la musculature de ta pensée
sans tête envisagée tu restes de marbre en suite bergamasque
tombée de base pour passe-pied et haute-contre en passe-droit
tu as les mœurs ventriloques et ta vie bâille au soleil
tandis que s’acharnent les vautours de la bienséance aseptisée
tu demeures intouchable en pâture immature
bien attachée à ta mâture thaumaturge
tu t’égales à tout bout de chant
sans te presser tu déplies les cris de sirènes froissées
et libères leurs extases trop longtemps déplorées
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