lundi 15 août 2016

microèmes, épisode 2 : l’idéal lavé des autres

résumé du précédent épisode :.



      §
Vie magique ou solitude légitime du vide, 
le désordre inconscient symbolise tout destin météorologique. 

_______________________________________________________________________________________________________________

§ 

§ On ne peut

être

que ce que l’on est.


§

§ On

n’est coupable que de

Soi.


§ On
n’est coupable

que des autres.


§ Les autres

ne sont coupables

que de nous.


§ On n’a
de culpabilité
que d’autrui.

§ Toute

culpabilité

est d’autrui.


§ Culpabilité
entraîne
faute.

§ La culpabilité des uns

est celle

des autres.

§§ Qui élimine
sa culpabilité
lave autrui.

§ Tout

est le code volontaire

des autres.


§ Tout

est les

autres.

§ 

  

§  


§   


§ L’idéal
est porté par
tous.

§ L’idéal
est porté par
moi.

§ L’idéal
est la portée du
moi… !

§ Je
ne pourrait porter seul l’idéal, il le
sent.

§ L’idéal
- de je -
c’est les autres.

§    

§ Tout
est le recul bijectif
de soi à soi.

§ La sortie
de soi
n’est pas en soi, mais tous.

§   

     §



§ Tous
sont en
Soi.


§ Tout
est la réaction du Tout
au tous.

§ On
est trop
pour être tous.


§
§
§ On
est trop
pour être nous-mêmes… !

§ Tous
sont le terroriste
de chacun.

§ Il n’est
de souffrance
que de soi.

§ Tout-le-monde
cause untel
en autrui.

§ Chacun
est la cause
de tous.

§ Qui se pause
oublie
son passé : la course.




§




§

Grégoire Cabanne *

lien : épisode 1, présentation des microèmes, bio
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images extraites de Take Shelter, FringeThe Graduate & Boardwalk Empire



lundi 8 août 2016

des heures en équilibre

« Et tout sera dit, ce qui, en art, nest jamais tout à fait sûr.  » Marcel Moreau, Corpus scripti.

les étoiles sont des histoires
les étoiles sont des histoires
les étoiles sont des histoires
dont on ne connaîtra jamais la fin


ni l’auteur dont le nom s’est perdu 
entre les lignes de la main qui l’écrit


et celles qui te reviennent 
chaque nuit dans le cadre 
de la fenêtre de ta chambre


ne sont que le reflet 
de celles qui se murmurent
dans la nébuleuse de ton corps
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jeudi 4 août 2016

rien à ajouter


Partout les solitaires forcés commencent à créer les mots du nouveau dialogue.
 Octavio Paz .. .. Vers le poème . . (Aiglon ou soleil ?  . Liberté sur parole


....
nuit qui s’ouvre à ton écoute
et le visage de la réalité se décompose 

combien de regards déchirés dans l’ombre des horloges ?
ils se lisent entre eux leurs brouillons blessés au fil des phrases en ruine
s’abandonnent au pied de la distance
qu’ils promènent à l’aune de leur indifférence
sauvent les apparences dissimulées sous le plancher
 pour épeler leurs envols souterrains dans des larmes fatiguées de navoir pas su pleurer

nuit qui t’ouvre à son écoute
… elle t’éclaire