mercredi 10 novembre 2010

intro sorcière

.
─❤➛
___ ___
Il m’a dit qu’il était
vraiment romanesque car il fut, c’est qu’il était, c’est ce qu’il m’a dit, une machine à lire, qu’on le veuille ou non, une machine à dire et à rêver…


L’expression peut paraître arrimée, ne rimer à rien, simplement dommage, un traité de cuisine, ou de propos, parce que le roman de la réalité, c’est cela, à part que c’est toujours plus et autre chose, ça n’est pas sorcier, effectivement, n’est jamais mystère initial, la crainte qu’il a à être vraiment scientifique, le vent porte la raison.


L’angoisse ou non romanesque c’est produire une électricité poétique d’ailleurs merveilleusement supérieure à la lumière.


On peut réduire, écrivait-il, toute chose dans sa plus banale exactitude, cela fait partie de la littérature, il est, il est autre chose que j’appelle la somme de ses parties… il inspire le coup, le coup qu’il semble souhaiter, de foudre ou du cœur, il me trouve séduisante à première vue, il est.


En résulte ce qui conspire à ne rien dire, et la suite de qualité vient remettre le contraire, clarté parvenue
— et il faut s’en réjouir.

Aucun commentaire: