.La tête du chat, relais de la chance jusqu’à l’atterrissage aux confins
.du monde. Je m’élance, ma respiration s’apaise, s’est estompée sous la forme
.d’un objet. Il n’est pas question de rester dans un puits, le chat ne ment pas,
.même s’il navigue entre les reprises, traces éternelles de chambres doubles
.sur le territoire de toutes les nuits.
.Il
.y était
.écrit hier les raisons de son visage, le sentiment de mentir,
.ma réponse silencieuse avec cette pluie entre nos deux ombres.
Peut-être avions-nous besoin de dormir en aval du lac, __________
d’explorer d’autres songes dans la claire lumière quand vient l’été.
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.La lumière était restée libre à l’intérieur d’un modeste. espace .compris
.par cette image qui reflétait une flambée calme dans le contour des arbres.
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.Je me suis couvert d’une réalité en pente douce au milieu du jardin nocturne
.de ses rêveries. Le soleil monte à mi-trajet, tu l’entends ne plus penser .à rien, procéder à un échange, il ne te demande rien. Peut-être d’ailleurs .nous a-t-il fallu l’abandonner sur le chemin minéral des mauvaises intentions .et des idées pénibles. |
. Tu lis son corps dans mes yeux .au prix d’une analyse.
.Nous avons partagé le voyage de notre souffle quelle que soit la façon dont
.on peut éprouver la profondeur d’une bouffée d’air pour la correspondance .des distances blotties en silence au creux de notre poitrine à fleur de peau
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