mercredi 6 juillet 2011

sauf-imagine

 La main 
se déploierait dans la terre tous les soirs et le poids de tous les hommes se répandrait dans ce théâtre de folie. Voici le feu glacé de mes lèvres, celles de la mort entre les draps de l’indifférence, et pourtant le temps de nommer l’azur. Vide. Travail incorruptible. Vulgaire, l’ignorance encore inaccessible me supplie devant la mort d’un enfant. Tous les deuils venus sur mes yeux qui ont cessé de couler l’horizon.
.Dominique Sampiero & Jean Bernard Thomas.


1 commentaire:

Anonyme a dit…

A lire et relire !!!