mardi 26 juillet 2011

la volonté du paysage idéal



Esclaves, 
ne maudissons pas la vie.


. .A r t h u r . R i m b a u d , . M a t i n .. .
. 

. . . .P . . H . . O . . T . . O .  .  . . . : .  .  . . . V . . I . . N . . C . . E . . N . . T .  .  . . . L . . E .  .  . . . J . . A . . R . . D . . I . . N . . I . . E . .R. . . .



Décidément le rêve des plus belles femmes se poursuit à chaque stupeur et soulève la coupe obscure de la morale. Les plaies du monde englouti par l’innocence et sa curiosité rabrouent les catégories dévorantes et les bourrades mesquines. L’ultime récompense fantasme de petites stations surnaturelles avec des larmes de patience endormie. C’est là le feu de vos profondes particules poétiques.: parcelles de terre aux yeux de nuit.

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