lundi 20 décembre 2010

par deux vers soient

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Sous l’agile aile élue jaillissent les prêches à flots. Ô mât de laine piquet oseras-tu dire fontaine.? L’ossuaire siccatif d’un suc séculaire suce la moelle du sommeil reliquaire en sautoir. À.baiser la quenouille la mort sûre du temps te montrera du doigt sous un ange différent. Sous l’angle mort aiguille te montera au doigt.


Lors nos ombres se tendent tendres branchent envolées au-delà des volets au-delà des valeurs ravalées. L’or noir de nos ombres blanches éclipsées s’incruste en façade sous la déflagration de l’abonde.H de là bombyx à l’heure qui fâche qui fauche qui sèche l’encre de notre souche commune immeuble. Fils ardent du soleil nia des cris tôt plût au ciel. Que des flambeaux.



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4 commentaires:

Anonyme a dit…

Tu es génial ! J'ai beaucoup aimé ce que tu as écrit et je me régale de cette lecture
Bravo mon J-B
Nicole D.

Jean Bernard Thomas a dit…

merci Nicole, je suis particulièrement honoré, surtout en ce jour extrême, d'être ainsi félicité par toi, tout premier membre de ce blog oculaire

(: cela ne fait que confirmer ce curieux lien entre nous, depuis plus d'un an déjà :)

que la vie te soit aussi belle que tu le souhaiteras (:)

Anonyme a dit…

"L'aigle aux ailes déployées veille sur les volets voilés de gris"

Vincent Le Jardinier

Jean Bernard Thomas a dit…

^‿^